Six awesome ideas that didn’t win any contest

Queremos hacer una recopilación de todos los concursos que no hemos ganado a lo largo de los últimos años, obviamente faltos de una clara compresión por parte de los correspondientes jurados, que no han sabido entender los intereses que nos movían a llevarlos a cabo.

Reflexions encadrés – Propuesta para el Festival des Architectures Vives 2018

Que se passerait-il si, en rentrant dans le Trésorier de la Bourse, on pouvait se transporter à la rue, au pâté de maison ou à la ville d’à côté? Les interférences physiques et virtuelles connectent l’endroit avec les expériences, en brouillant les distances. Elles convertissent l’espace en une toile virtuelle qui appartient aux citoyens. C’est une manière de raconter des histoires, de se diriger à quelqu’un d’autre, de voyager près ou loin d’ici et de regarder au-delà. La cour parle. L’individu devient le catalyseur d’un endroit spécifique, le mettant en relation avec son contexte à différentes échelles et vitesses. Soudainement, une connexion continue et immatérielle se concrétise au coeur d’un bâtiment à Montpellier. Alors, les autres lieux occupent le même espace et vice-versa. Cette appropriation et ce rapprochement à l’espace se produit à travers deux éléments fondamentaux, l’un étant la conséquence de l’autre. D’un côté, la réception des inputs dans la cour génère un entrelacement d’histoires d’origines différentes. Ainsi, se produit un récit anonyme et collectif, qui permet de cartographier les expériences à l’échelle du territoire. L’effet de ces stimuli virtuels est réel et immédiat. La perception du visiteur change au fur et à mesure de son avancée vers l’intérieur -d’abord l’espace reste inchangé jusqu’à refléter l’activité qu’il reçoit. Une fine lame d’eau transmet les interférences, dessinant une série de vagues qui remplissent la toile de la cour. La fréquence de ces vagues va varier selon le niveau d’activité et l’assistance. Ainsi, on génère une cartographie à léchelle du lieu L’enregistrement pendant l’intervention à ces deux échelles nous laissera la trace de l’activité physique et virtuelle, pas seulement à l’intérieur du patio, mais de tout un rayon d’action au-delà de la ville elle-même. C’est en ce point de rencontre entre matériel et immatériel que les histoires apparaissent.

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Amolloar o baleiro – Propuesta para el certamen Experimenta Pontevedra 2018

O proxecto baséase na barreira imaxinaria da liña, fácilmente traspasable e ó mesmo tempo inquebrantable. O itinerario como liña. Os bordes do espazo delimitados polo baleiro inexistente froito da extrusión da liña. O baleiro cargado de significado ó trazar a liña. O concepto da liña como límite é un elemento moi forte no imaxinario colectivo, dende os sinais pintados sobre o asfalto ata o concepto de «liña vermella». Estas liñas non sempre son explícitas, senón que son xeradas polo encontro de dous elementos diferentes: o borde entre dous pavimentos, un salto de cota, etc. As ferramentas a ser usadas para desenrolar todos estes usos xiran en torno ó concepto da liña: a porta (a liña que trepa) para os pasos; o marco (a cuadratura do círculo) para os expositores; o banco (a liña grosa) para lecer; e a ringleira de ladrillo (a liña pura) para coser todos estes elementos. A disposición relativa entre eles e con respecto ó área de intervención vai xerar as zonas estanciais, remarcar os puntos de interese da praza, acompañar o paso indiferente a través da instalación ou establecer os carrís de circulación que atravesan a mesma. A proposta xoga con todos estes conceptos para, mediante unha sinxela intervención que parte dunha humilde liña de ladrillo dunha ringleira de altura, xerar un espazo na praza que responda ás necesidades urbanas do lugar: áreas de lecer, puntos de exhibición, imaxes a ser disfrutadas, servidumbres de paso, etc Esta ringleira de ladrillo funcionaría como «liña de reformulación» dunha proposta de intervención para a praza, onde os espazos xeraranse mediante o efecto perceptivo que ten unha liña sobre o chan na psique do usuario. Durante a noite a liña iluminarase dende abaixo mediante unha tira de LEDs que segue a xeometría prantexada para establecer unha continuidade temporal enfatizada polas luces nun ambiente nocturno. Búscase ademáis unha profunda interacción coa cultura local aproveitando os marcos de exposición para exhibir obras de artistas da cidade e a provincia. Deste xeito preténdese que a intervención estableza un diálogo coa obra de quen mellor coñece a cidade: os propios habitantes. É, o mesmo tempo, obra e soporte.

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CNDM – Propuesta para Arquia Próxima 2018

La intervención se basa en inflables que permiten transformar el espacio minimizando el almacenamiento, aprovechando la facilidad de movimiento y el bajo coste. Para evitar el vuelco de cada pieza, la unión entre ellas se realiza mediante velcro

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We ARgazuela – Propuesta para el programa Mirador Arganzuela

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Del mercado al cole hay un bosque. Propuesta para la Plaza Rutilio Gacís dentro del programa Imagina Madrid.

Proponemos liberar la energía potencial de la materialidad del lugar, destruyendo los parterres que aprisionan la plaza, para recuperarla después reconstruyendo el paisaje con ellos. Una alfombra roja cruza la plaza en diagonal invitando a recorrerla por fuera y por dentro. La topografía apunta al nuevo arco de luz y agua que nos hace fijarnos en un pasadizo que nos lleva….¿a dónde? ¿Qué potencialidades identificas en el lugar seleccionado? Registrada en el catálogo de parques históricos y jardines de interés, presencia de abundante arbolado perenne y caduco (Pinus Pinea y Robinia Pseudoacacia) y vegetación arbustiva relevante (Cotoneaster, Ligustrum Ligustrum Ovalifolium , Nerium Oleander). En contraste con las numerosas plazas duras del municipio, la abundancia de vegetación es vital para la renaturalización de las ciudades. Esta vegetación la provee de cierto grado de privacidad y separación del vial rodado, valor muy deseado si se combina con seguridad. Situación estratégica como zona de conexión entre varios lugares de interés del barrio, especialmente explotables el arco que la conecta con el Mercado de Guillermo de Osma y el pasadizo que la conecta con la plaza de José Villareal. Cuenta con abundantes bancos y una fuente de agua, elementos urbanos de interés y necesidad que han escaseado en el espacio público madrileño. El espacio de juego para niños cuenta con una gran afluencia. Escala humana. Gratuidad. Afluencia, diversidad, convivencia, multiculturalidad, pequeño comercio. ¿Qué desafíos o dificultades? Los principales problemas detectados son la falta de seguridad, conflictos de convivencia, la insalubridad y suciedad. Cuestiones relacionadas y manifestadas reiteradamente por los vecinos, como son la presencia de alcoholismo, tráfico de drogas, mendicidad o perros violentos, exceden el ámbito de lo artístico y creativo y deben ser abordadas desde otros campos de índole social, pedagógica o sanitaria, sin descartar sinergias y procesos participativos con profesionales de estos ámbitos. Desde nuestro campo de trabajo en lo espacial el principal reto es transformar un espacio que mantenga su privacidad aumentando su grado de seguridad y convivencia para los vecinos.

Propuesta realizada en colaboración con Amaia Rieiro.

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134 Fête des lumières de Lyon. Propuesta de iluminación urbana.

134 ans il y a que Thomas Edison a invente la première ampoule.

Depuis ce moment là, des nombreux avancements ont eu lieu en faisant de la lumière un mode de vie. Dans ce parcours autour du temps on a pu voir comme le développement a été fait sur la base d’un intérêt qui n’est pas économiquement viable en relation à la demande et consommation de la population.

Aujourd’hui on lutte pour une reprise de conscience sur le dégât énergétique que représente l’illumination artificielle et qui a généré nouvelles conceptions de « lumière »   134 ballons illumineront la rue comme un champ sous lequel on se balade. Ça nous évoque aussi le nom de cette rue, Pierre Poivre, l’aventurier agronome qui a géré avec habilité le jardin botanique « jardin des pamplemousses » à l’Ile Maurice.

Ils sont disposés comme si d’un terrain de culture s’agissait. Ils forment un quadrillage qu’on ne peut pas apercevoir puisque chacun est à sa hauteur précisée par la couleur de lumière. Comme s’ils étaient des nénufars, chaque ballon a sa racine suspendue et  elles nous indiquent par où on peut passer. 134 éléments faits à la main, sous les quels on se promène et que finalement on peux récupérer, et avancer sur une recherche inachevée.

Ce qui nous intéresse c’est le fait de pouvoir construire notre propre ballon, pour se sentir tout à fait partie du projet, de montrer comme on peut les fabriquer, et que chacun puisse le refaire à tout moment. Ce qu’on trouve magique c’est que chacun des ballons va être différent, chacun va briller selon l’intensité de chaque batterie, mais tous ensemble seront une masse unique de lumière sur nos têtes, et on concevra les ballons comme un jardin où chaque plante a son propre caractère unique du a la nature unique de chacun de nous. Ce que on aime bien c’est que une fois la vie du ballon est finie, on pourra le récupérer, et l’installation pourra disparaître depuis le moment où on décide laisser les ballons devenir indépendants entre eux. Alors, la masse se transforme en une addition des éléments qui peuvent être à nous.

Pourquoi on a choisi la rue Pierre Poivre ? C’est facile, c’est une rue qui fait la liaison de deux niveaux différents de la ville. Depuis le niveau haut on verra la masse des ballons sous notre ligne de l’horizon, mais quand on descend on se rend compte de la particulière atmosphère qu’on a crée sous les ballons.